Qu’est-ce qu’un accord de Bâle?

L’accord de Bâle II sur l’adéquation des fonds propres est aujourd’hui une préoccupation majeure des professionnels de la banque, de la surveillance du monde entier. Elle constitue à la fois une opportunité et un défi pour le secteur bancaire, étant entendu que les défis qu’elle pose ne soient pas moins importants que les opportunités qu’elle crée.

D’après les professionnels de la finance, les accords de Bâle sont des branches fragiles au risque du crédit, à l’amélioration du régime de marché à l’émission aux activités bancaires de surveillance, à  la consolidation du rôle des superviseurs, à la notion standard ou interne et aussi à la tarification réglée aux risques opérationnels.

A l’opposé de Bâle I dont les recherches et les études ont mentionné le grand manque de l’habilité prédictive, le déficit des procédures d’évaluation et la différence des modalités de l’élaboration dans plusieurs pays.  La variante actuelle issue d’un consentement entre la crème des argentiers de la planète. En effet, ces nouveaux papes de l’économie-monde à pour objectif d’harmoniser les exigences minimales des fonds propres, et les mesures prudentielles qui doivent évaluer des résultats de stress tests et les exigences de communication en matière de publication, d’informations qualitatives, correspondantes aux risques.

Démarche de passage à Bâle II

Les pouvoirs publics ont mis en place une commission stratégique qui rassemble la profession bancaire, le ministère des finances, le CMF (Conseil du marché financier), l’ordre des experts comptables afin de coller aux normes établies dans le conclave suisse et préparer proprement le terrain pour appliquer les références retenues à Bâle II, conduire des études d’impact, et prospecter les aspects techniques du nouveau diapositif  prudentiel.

Après une observation technique rude, les membres de la commission ont déduit à l’inadaptation des systèmes d’information des banques aux conditions des approches préconisées au nord (notamment les banques non filiales aux banques étrangères), à l’absence des bases de données complètes qui servent à apprécier et mesurer les risques.

Les impacts de Bâle II

Effets sur les banques

  • La nécessité de mettre en place un cadre de gestion des risques liant capital réglementaire et risque économique.
  • La nécessité de sélectionner des approches du risque de crédit et du risque opérationnel est liée au premier pilier.
  • Le besoin de collecter, stocker et analyser des informations nouvelles et complètes.
  • La nécessité d’adopter des pratiques nouvelles et améliorées au niveau de l’entreprise.

Effets sur les clients 

  • Le besoin de notations internes et externes pour le crédit.
  • Pour répondre à la transparence croissante de la rentabilité de leur compte.
  • La nécessité de collecter et de divulguer de nouvelles informations.
  • Pour répondre à la possibilité d’obtenir moins de services, des produits standards et des taux d’intérêt plus élevés.

Les défis accords de Bâle II 

Défis auxquels les banques seront confrontées : · Interpréter les nouvelles réglementations et comprendre leurs effets sur les entreprises. Gérer les changements de culture du risque. Maintenir la sécurité et la maintenance de la direction générale et appliquée. Répondez aux nouvelles attentes des régulateurs, des agences de notation et des clients. La nécessité de prendre en compte le ciblage de certains clients et produits, et d’en abandonner d’autres. Déterminez comment le capital supplémentaire sera utilisé.

Défis auxquels les clients seront confrontés : · Pour faire face aux nouveaux coûts encourus pour fournir des informations nouvelles et actuelles aux prêteurs. Amélioration des conditions de crédit. Améliorer les relations entre les investisseurs et les prêteurs grâce à des normes de divulgation améliorées et à l’adoption d’une gestion complexe des relations avec les débiteurs. Utilisation d’indicateurs de performance clés pour surveiller les performances. Gestion des opérations de classement.